Vous
trouvez ici une lettre ouverte dont j’assume toutes les paroles,
les phrases, sans aucune intention injurieuse. Seule est engagée ma
liberté d’expression et pourra donc être mise en cause, ce qui,
toutefois, serait une absurdité, syndicalement et cégétistement
parlant, mais nous ne sommes pas à une absurdité près, dans notre
situation. Cela fait un an que je me suis astreint à un silence
quant à une expression publique mais désormais, après une longue
et mûre réflexion, partage, écoute, présence active par tous les
moyens dans la défense et l'intérêt des syndiqué(e)s et/ou
travailleuses et travailleuses, en tant que Conseiller du Salarié
CGT depuis bien d’années (mais, étant donné la négation de ce
travail par la direction actuelle de l’UD, pour combien de temps
encore ?), j’ai donc pris cette décision aujourd’hui, celle de
m’exprimer en tant que syndiqué – syndiqué devenu le secrétaire
d’un syndicat des «isolés» en Sud Gironde. Contrecarrer nos
volontés, ignorer nos idées, nous nier, nous réduire à … c’est
quoi cette actualité cégétiste girondine ? Nos valeurs et nos
principes, en adéquation parfaite avec les statuts de la CGT et ce
qu'elle doit représenter dans la société actuelle, tout cela est
devenu secondaire, par l’aveuglement, la surdité et la violente
oligarchie des incapables qui font la loi et modifient à leur guise,
dans leur pratique, les statuts, ajoutent de nouvelles règles et
méthodes de travail, etc, selon leurs caprices. C’est à celles et
ceux qui, pour l’instant, sans autre alternative devant une
ci-devant Reine de la CGT, certains de ses lieutenants, parfois élus
au sein même de l’instance majeure ou de syndicats, mais qui
n’osent pas s'approprier complètement et statutairement, leurs
mandats et responsabilités, que nous nous adressons. À celles et
ceux qui, dans leur engagement au sein de la CGT, sont absolument
sincères, honnêtes, je m’adresse à vous, parce que nous
aimerions pouvoir vous parler, à toutes et tous, plus facilement,
régulièrement. Sur ce que nous disons, pensons, notre blog est là
pour cela, et c’est d’ailleurs pour cela que cette lettre ouverte
est publiée ici. Quant à notre adresse mail, il s’agit de
contact arobase syndicat-cgt-multiprosg point org.
Notre
situation relatée à maintes reprises par des échanges entretenus
avec des camarades de la CEUD, qu’ils soient des nouveaux élu(e)s
ou réélu(e)s lors du dernier Congrès, ou à travers des divers
documents écrits adressées à l’UD 33, à la Confédération, à
Philippe Martinez, à des Syndicats, à des Syndiqué(e)s, est telle
que suffisante pour que, par elle-même, par sa valeur et sa force,
il soit désormais nécessaire de requérir la démission immédiate
de Mme Versigny. Récemment,
le 15 juin 2017, le Syndicat Multi Pro CGT SUD GIRONDE a été
convié par la Commission Affiliation à participer à une réunion
de travail, et l’étaient également le secrétaire de l’ul Sud
Gironde, un représentant de la Fédération Agro, Mme Versigny.
Selon cette dernière, le Syndicat MultiPro CGT Sud Gironde n’est
pas, encore, intégré à la liste des syndicats CGT en Gironde, en
raison de sa volonté, personnelle ! Les conséquences sont,
réellement mais aussi potentiellement, très graves, pour nos
Sections, pour nos mandaté(e)s. L’UD, gérée selon les caprices
de la Reine de Bordeaux, ne perçoit pas ce que le Syndicat lui doit
– mais nous n’y sommes pour rien si l’UD n’est pas capable de
nous permettre d’effectuer cette répartition via Cogetise. Le
Syndicat a été créé statutairement, à la demande de l’UD CGT
33 et l’ul CGT sud gironde, avec la collaboration de membres du
bureau de l’UD, tels que M.Faye ou M.Notais, ayant comme
scrutateurs lors du vote M. Delasa et Despujol (Conseiller
Prud’homal) ; toutes les démarches administratives internes à
la CGT ont été effectuées ; et les externes, comme le dépôt
du procès-verbal après l'élection des membres du bureau, du
secrétaire du syndicat, ont été reçues par la Mairie de La Réole,
adressées à l’ul CGT sud gironde, à l’UD CGT 33, au Procureur
de la République. 4 mois après cette Constitution, l’UD s’est
réveillée. Et le bureau de l’UD (mais pas la CE, n’est-ce pas ?
Qui n’a pas été consultée, n’est-ce pas?) a fait un choix tout
seul, depuis, porté par Mme Versigny, sans la moindre
justification statutaire. Et des choses pareilles peuvent se produire
au sein de la CGT ? Et il faut presque un an pour résoudre de
tels problèmes ? Et une commission affiliation ne peut se faire
entendre d’une telle secrétaire de notre UD ? ! Nous, de
notre côté, nos cotisations sont toutes à jour et l’argent est
bien sur un compte bancaire, dans l’attente de ! Au cours de
la même réunion Mme Versigny a également prétendu assumer le
fait que la liste des conseillers du salarié CGT en Gironde a
évolué, là encore, de son propre chef, sans que la CE de l’UD
soit informée de ces changements – et l’Inspection du Travail ?
Et la Préfecture ? Face une telle folie, on fait quoi ??
Comment un travail syndical de plusieurs années pourrait être
balayé d’un trait de plume, de la part d’un dictateur à la main
de fer ? ! Madame Versigny, vous avez peut-être un
excellent avenir en tant que DRH d’une entreprise, ou des
meilleures chances dans une toute petite entreprise, plus en
conformité avec vos limites et compétences, puisque au stade où
vous trouvez, n’importe quel employeur du MEDEF vous prendra !
Je ne me suis pas engagé à la CGT pour subir une telle dictature.
Qui, de nous deux, appartiendra encore à la CGT, dans les mois qui
viennent ? Nous, nous ne craignons rien, parce que nous avons
toujours tenu une position cégétiste fidèle, libre d’expression
et d'échange d’idées, hélas, depuis longtemps déjà, confronté
à votre positionnement féodal en Gironde. À Montreuil, devant la
Commission Affiliation, faute d’arguments solides et crédibles
vous n’avez pu que contourner le seul objectif de la réunion :
faire avancer de manière pérenne le Syndicat Multi Pro et vous
vous êtes donc engagée et perdue, dans la seule voie que vous
maîtrisiez, détruire, diviser, décrédibiliser, diffamer, mentir,
manipuler autrui. Mais la camarade Frédérique Landas, de la
Commission Affiliation, a dû vous rappeler que leur commission n’est
pas une Commission de Conflits. Mme Versigny,
vous avez choisi de faire abstraction des consignes, divertir
l’audience et passer outre l'intérêt de la réunion en soulevant
“ d’autres sujets majeurs “, ceux où vous vous sentez plus à
l'aise dans votre verbe habituel, ceux qui divisent et détruisent
notre CGT en Gironde, et cela sans oublier dès le départ en posant
vos bases : “quand
on est à la CGT nous ne pouvons pas faire ce qu’on veut quand on
veut “,
je vous cite. Sachant d’où vient une formule, je ne sais pas si
“je
dois rire ou pleurer … “,
vous vous rappelez de celle-là, Madame ?? Et voilà que je vous cite
encore, franchement, c’est insupportable n’est ce pas ?? A votre
place une mise à la porte de José Bengala ne me suffirait plus, il
faudra désormais et carrément une mise en demeure, une plainte pour
diffamation mensongère, quelque chose de fort quoi, histoire de
“mettre
de la chair autour de l’os“
... et zut, je vous cite encore, incroyable cette obstination, je
vous jure, Madame, je ne le fais pas exprès !! Vous parlez tant, que
vous parlez contre vous-même. Vous nous avez sévèrement critiqués
pour le fait de la création du blog de notre syndicat, mettant en
cause notre engagement et liberté d’expression. Vous nous avez
critiqués sévèrement par le fait que nous avons adressé des
courriers à Philippe Martinez, à l’UD 33, à la Commission
Affiliation. Dans quelle démocratie vivez-vous ? Vous nous avez
sévèrement critiqués par le fait que notre syndicat a écrit au
Président de la République en faisant sortir de votre chapeau
l’extrait suivant : “nous
sommes favorables au débat, à la démocratie sociale. C’est
pourquoi votre soutien aux négociations dans les entreprises a notre
assentiment. Vous voulez des négociations dans toutes les
entreprises ? Nous y sommes prêts ! “,
mais vous nous avez sciemment tronqués la citation, en omettant ce
qui précédait et suivait – et j’invite toutes et tous les
camarades à consulter ce courrier, dans notre blog. Si vous aviez
été honnête, vous auriez alors souligné que nous avons aussi posé
des conditions à ces négociations : “Mais
alors, il faut être clair. Il faut que ce soit, par définition, par
moyens, de vraies négociations, ce que même les NAO (négociations
annuelles obligatoires) ne sont pas. Pour nous, il faut qu’il y ait
des NAO de branche, et, une fois terminées, des NAO dans les
entreprises, sur la base des résultats de la négociation des NAO
nationales. Il faut de telles négociations DANS TOUTES LES
ENTREPRISES, et notamment dans les TPE, lesquelles sont dans un
statut d’exception, injuste, pour les travailleurs de ces
entreprises de moins de 11 salariés. Dans ce pays, la situation
économique d’une personne est liée à ses «chances» : êtes-vous
énarque, êtes-vous haut fonctionnaire, êtes-vous salarié d’une
très grande entreprise, et vous cumulez de nombreux droits,
êtes-vous au contraire salarié(e) d’une toute petite TPE, et vous
n’avez aucun droit économique global. Il faut donc en terminer
avec cette situation, où les proportions ne sont pas tempérées par
une redistribution. Les salariés des TPE doivent bénéficier d’un
comité d’entreprise, d’un CHSCT. Le fait qu’ils en soient
privés constitue une discrimination, du point de vue
constitutionnel. Évidemment, ce CE ne peut être établi sur la base
des moyens de l’entreprise. Il faut donc inventer une nouvelle
forme de CE pour ces entreprises: un CE national ? Un CE
départemental ? Un CE par branche ? Vous le voyez : c’est une
organisation syndicale de salariés qui défend la COHÉRENCE de
«droits salariaux», de véritables progrès économique. Cela ne
peut être une surprise. C’est
pourquoi nous tenons enfin à le dire fortement : le plein-emploi
n’est pas une utopie, une chimère. Nous le disons clairement : le
grand patronat ne le veut
pas, parce
que le chômage de masse lui est trop
utile.
Vous êtes face à un choix. Les mesures que nous défendons ici
contribueront à ce plein-emploi. D’autres y contribueraient aussi
: les 32 heures
“. Vous, M. Notais et M. Delasa avaient prétendu sévèrement
me critiquer au motif que, selon vos termes, j’aurai porté
discrédit à l’organisation syndicale CGT en Gironde, au motif que
j’ai envoyé un texte personnel par mail, en tant que Conseiller du
Salarié à Mme Coulon, Responsable de l’Unité de Contrôle 3 -
Sud est, texte que je concluais dans les termes suivants “Et
si vous vous heurtez à la bureaucratie servile de la DGT, dites-vous
que vous avez le choix : si vous y perdez des parts de primes
sachez que vous y gagnerez des parts d'estime de vous-mêmes ! “
Sachez Madame, que dans ce même mail il existe aussi des extraits
tels que : “ Vous
n’êtes pas des conseillers, vous êtes la police des patrons ! il
en faut une, déterminée, sérieuse, entêtée, efficace. Vous êtes
des experts contre les infractions, les trucages, les délits
patronaux.»
Ou
: «N'ayez
pas peur des " cris " patronaux qui se plaignent de la
crise : jamais leurs profits n'ont été aussi énormes. Jamais la
France des actionnaires, jamais la France exploiteuse n'a été aussi
riche. Jamais les richesses produites par les salariés n'ont été
aussi mal distribuées.»
Ou : «vous
faites un métier fantastique, extraordinaire, un des plus
intéressants, passionnants : vous avez le droit de rentrer à toute
heure du jour et de la nuit dans les entreprises et de contrôler les
employeurs.»
Ou
: « Jamais
les salariés n'ont eu autant besoin de protection. Jamais le Code du
Travail n'a été aussi nécessaire, renforcé, et vous là,
j’espère, pour le faire appliquer effectivement contre la
délinquance patronale massive qui s'est accrue ces dernières
années.»
Ou
: «Vous
êtes le bras armé de la répression pour le faire appliquer. Ne
voyez pas votre mission avec distanciation mais avec passion. On a
voulu vous apprendre à être technocrates, juristes froids et
statisticiens soumis, fonctionnaires obséquieux. Soyez engagés,
votre métier a un vrai sens, soyez fiers !»
Voilà
le sens de mon texte et mes propos, mais c’est tellement plus
simple de cacher la vérité aux camarades, essayer de leur faire
croire à autre chose et puis taper et taper continuellement sur José
Bengala, ça vous fait plaisir, hein ?? Je vais vous faire une
confidence Madame, parce que je n’aime pas laisser les gens dans
l’ignorance et puisque vous et vos lieutenants, vous vous êtes
dits atterrés par ma phrase “si
vous y perdez des parts de primes sachez que vous y gagnerez des
parts d'estime de vous-mêmes !“
Ces primes, elles existent !! Vous devriez les connaître pourtant,
je ne parle pas des autres camarades mais au moins vous en tant que
Secrétaire de l’Union Départemental CGT 33. Quelle inattention !
nous avons des camarades à la Direccte Nouvelle Aquitaine pourtant
!! qui font ce travail avec passion, avec toutes les difficultés que
nous savons, et qui risquent de s’aggraver avec le MEDEF désormais
explicitement à la tête du Ministère ! Cette
prime, c’est la fameuse - Prime de Fonctions et de Résultats (
FPR ). Il s’agit d’un dispositif indemnitaire qui comprend deux
parts cumulables et modulables indépendamment l’une de l’autre
par application de coefficients multiplicateurs à un taux de
référence ( exprimé en euros ) :
-
une part est liée aux fonctions exercées, modulable de 1 à 6 pour
tenir compte des responsabilités, du niveau d’expertise et les
sujétions spéciales liées aux fonctions exercées.
-
une part ( et voilà le problème et pourquoi les agents sont soumis
à ... ) liée aux résultats individuels, modulable de 0 à 6 pour
tenir compte de la performance et de la manière de servir de
l’agent. La
modulation intègre, sur cette part l’atteinte ou non par l’agent
des objectifs qui lui ont été fixés ( par qui ?? dans le cas en
espèce par Mme Coulon). De plus, il faut savoir que sii le montant
de la part fonctionnelle a vocation à rester stable dans le temps,
le montant de la part liée aux résultats individuels attribué à
un agent est révisable en fonction des mérites et des résultats
!!! J’espère qu’après cette brève explication ou information,
ou … prenez-le comme vous voulez, Madame, vous avez mieux compris
ma démarche et si vous n'êtes pas d’accord avec la réflexion,
vous avez aussi le droit, pour ma part je pense qu’il est
nécessaire parfois de faire sentir aux donneurs d’ordre, qu’en
face, il y a des militants sérieux, engagés dans l'intérêt des
syndiqué(e)s et de travailleuses et travailleurs, et je sais que je
ne suis pas un cas isolé. Beaucoup de camarades partagent les mêmes
idéaux, la même détermination, la même cohérence, sauf vous
apparemment. C’est pourquoi vous devez, en conscience, laisser la
chaise vide et passer la place à quelqu’un avec les capacités
syndicales tant nécessaires en Gironde. Si vous ne le faites pas de
vous-même, alors, la force des choses le fera. Vous avez cautionné
des choses et des propos inacceptables, vous avez usé de votre
pouvoir sans respecter vos obligations, vous avez contribué à
laisser perdurer un climat sur lequel nous vous avons, à l’été
2016, alerté, demandé d’agir, ce qui a conduit des voyous (ou des
salauds, si vous préférez) à créer des faux, pour faire croire
que j’adhérais à une autre organisation syndicale. Oui, Madame
Versigny, quand
on est à la CGT nous ne pouvons pas faire ce qu’on veut quand on
veut.
José
BENGALA
avec une littérature pareille cela fait avancer le mouvement syndical.
RépondreSupprimerMonsieur vous devriez avoir honte de cette publication.
ce n'est pas avec ce torchon que je vais me syndiquée à La Réole.
Christine Gironde/dropt
Vous affichée une connaissance profonde du monde syndicale, Madame ...
SupprimerVous êtes engagée ? Vous faites avancer les luttes sociales ?
Où ?
Apparemment Christine doit comploter avec le MEDEF, il y a que des gens comme ça qui sont tellement pauvres d'esprit et d'expérience syndicale pour ignorer à ce point les difficultés croissantes auxquelles les salariés sont confrontés quand ils font appel aux interventions des agents de la Directte.
SupprimerBonjour Christine,
SupprimerSi vous avez pris le temps de lire mon papier c'est déjà très encourageant et je vous félicite vivement pour l'initiative. Vous avez surement remarqué que plusieurs sujets sont abordés, néanmoins vous faites apparaître une appréciation générale. Cela ne peut échapper qu'à deux solutions : ou vous n’êtes d'accord avec la totalité du contenu ou vous ne m’appréciez pas de tout et en particulier ...
Si votre choix s'incline pour la première solution c'est votre droit, évidement.
Si par contre vous vous inclinez plutôt vers la deuxième vous avez aussi le droit mais dans ce cas là ça veut dire que votre observation est basée sur d'autres valeurs que celles qui doivent conduire le monde syndical à une posture plus combative, efficace. Pouviez nous éclairer davantage ?
Salutations fraternelles,
José BENGALA
Bonjour Madame,
RépondreSupprimersuite à votre réponse au courrier ci dessus, je vous invite à prendre contacte avec l'Union Locale des Syndicats CGT du Sud Gironde
20 bis rue Abel Gourgues 33210 LANGON
La vous trouverez une oreille attentive.
Avec nos salutations syndicales.
F. TATINCLAUX
Si je poste un commentaire ... puis je me répondre le lendemain à moi même ?
RépondreSupprimerOu je doit attendre la réponse de Mr. TINTINCLAN ??
J'aimerais savoir ...
Qui est Mr. TINTINCLAN ??
SupprimerUn agent infiltré
Supprimerun personnage crée par Mr Bengali.
SupprimerDans l'esprit de Mr. Bengali il est de noter qu'il demande une exigence envers la société actuelle : admettre la nécessité de la contestation, que cela s'applique au monde politique, associatif ou syndicale ( en occurrence ), c'est l'analyse que je fais à froid de ses propos. Il faudra convenir que cela ne peux que scandaliser le petit nombre de rêveurs qui croient encore à un nouveau Royaume fait d'utopie dans lequel les gouvernants, les dirigeants d'entreprise et les chefs de syndicats chanteraient des hymnes à la productivité et à la justice sociale. Je pense que Mr. Bengali n'est pas loin d'une photographie juste et appropriée de la réalité, désolé pour celui que ne partage pas mes pensées.
SupprimerEn effet, camarade, les tensions sont autant inévitables que souhaitables, nécessaires au sein d'une société. Il sera toujours pertinent,louable, indispensable et notamment au sein du mouvement syndical que ce dernier demeure une force ayant la liberté de dire " NON ", d'appuyer son positionnement par le conflit et par ses moyens,enfin... faire avancer logiquement l'évolution générale.
La présence participative d'une force à l'intérieur des structures et des orgas, possédant suffisamment de distance, d’autonomie et de possibilité de manœuvrer et d'exercer un contrôle, une pression constante afin que les lignes directives choisies ne s'effacent pas petit à petit par l'effet de la complaisance, de la commodité humaine, de l'abandon, est cruciale, n'est-ce pas ? Ne seras pas tu d'accord ?? Ou t'es d'accord avec tout des le moment que personne vienne déranger ton petit et très organisé quotidien ??
Je ne pense pas, je crois même que toi aussi t'es dans la lutte, à ta manière, voilà...
Ce que les travailleuses et les travailleurs attendent du syndicalisme est qu'il soit encore doté d'une nature faite de résistante, contestataire, et puis c'est tout, même si pour y arriver des tables doivent être renversées...
C'est dans ce sens que je comprends le discours tenu par Mr Bengali, en toute indépendance ...
Tu devrais mieux le lire, tu comprendras...
A l'attention du commentaire "avec une littérature pareille cela fait avancer le mouvement syndical.
RépondreSupprimerMonsieur vous devriez avoir honte de cette publication.
ce n'est pas avec ce torchon que je vais me syndiquée à La Réole."
parce que vous pensez peut-être qu'il suffise de lire un tel commentaire pour se dire "oh la la la, qu'est-ce que c'est triste, dommage, et tout cela à cause de...". Votre jugement sur ce texte est un jugement, rien de plus "honte, torchon", mais vous ne vous expliquez pas. Qu'est-ce que l'on en a à faire de votre jugement ? Surtout qu'il est peut-être émis par une personne qui, en fait, est concernée par les critiques exprimées dans ce texte. Et comme cela, c'est assez comique de voir le jeu de tango avec un représentant de l'UL Langon. Nous, sur la Réole, nous ne sommes pas intéressés par avoir dans les pattes des "camarades" qui jugent les autres, avant de s'expliquer.