mercredi 14 mars 2018

Les Ford à Blanquefort : aux talons d'Achille de l'entreprise américaine, lançons nos actions

Notre syndicat a adressé aux camarades des Ford de Blanquefort l'expression de notre soutien. Nous pensons que nous devons déterminer les faiblesses de cette entreprise, de la direction. Le 22 mars prochain, les Ford doivent être en tête de la mobilisation, aux côtés des cheminots, de tous les autres travailleurs mobilisés ce jour, des retraités, des étudiants. Maintenant, il est temps ! Nous devons dénoncer la dictature de la Bourgeoisie, son illégitimité sociale, totale.

Dialoguez avec le MEDEF, c'est, du temps perdu - le MEDEF n'est pas un "partenaire du dialogue social", mais un ennemi des travailleurs

Saint Macaire : l'installation de quelques migrants suscite le vomi alcoolique, dans une médiatisation dont les termes et perspectives interpellent










































Nous publions ici l'adresse de M. Lhomme, de Saint Macaire, connu pour son combat contre les compteurs Linky. Nous soutenons cette lettre, son propos. Nous sommes très inquiets, de voir des médias, contribuer à alimenter des sentiments troublés, voire mauvais, alors que dans le même temps, des problèmes, des affaires, qui concernent l'intérêt général, les travailleurs, n'ont aucun écho dans ces mêmes médias. L'instrumentalisation des problèmes liés aux migrations de personnes dont l'immense majorité le fait, par nécessité, et à cause de ce qu'un pays comme la France a pu faire, fait encore, en Afrique, au Proche Orient, constitue une diversion sociale permanente, qui aide l'extrême-droite et que celle-ci aide. Les migrants, dont le nombre est très faible, ne menacent pas la France. Par contre, les mafieux et les plus riches, qui sont souvent liés à ces mafieux, portent des coups, quotidiens, permanents, contre des personnes, des travailleurs et contre les finances publiques. Nous appelons les journalistes à équilibrer les publications, leurs reportages, en écoutant les citoyens, travailleurs, dont les conditions de vie, de rémunération, se dégradent, du fait de la politique patronale dictatoriale, que nous subissons depuis de trop longues années, en s'aggravant.